Dans un premier temps, les participant·e·s démarreront de la Tour à Plomb pour se diriger vers le Parc de la Porte de Ninove. Iels pourront alors analyser in situ l’espace public dans lequel iels se trouvent à l’aide d’un jeu de carte thématique. De retour à la Tour à Plomb, les participant·e·s auront l’occasion de restituer leur diagnostic par groupe.
Avec le support d’un jeu de carte thématique développé par l’asbl Habitant·e·s des Images.
Initiée par l’architecte Apolline Vranken à l’occasion de la parution de son livre « Des béguinages à l’architecture féministe » (Université des Femmes, 2018), L’architecture qui dégenre est une plateforme qui questionne l’ordre dominant, construit l’égalité, édifie l’optimisme. L’architecture qui dégenre est un espace de partage des pratiques et des connaissances en rapport avec l’égalité architecturale, artistique et urbaine.
Diplômée à la Faculté d’Architecture La Cambre-Horta en 2018, Annabelle Hoffait est architecte. Constatant le manque de prise en compte des questions liées au genre dans le milieu de l’architecture à Bruxelles, elle complète sa formation avec le Master Genre dont elle sort diplômée en 2023. Elle s’intéresse au cohabitat, aux logements groupés et au droit à la ville en général. Elle est aujourd’hui chargée des pôles Architecture et Médiation de l’asbl L’architecture qui dégenre.
Camille Kervella est architecte diplômée en 2020 à l’UCL. Avec son mémoire de fin d’études « Sex in the city », elle s’intéresse aux questions fondamentales féministes et queer (LGBTQIA+) dans les sociétés édifiées. Au sein de L’architecture qui dégenre, son travail s’inscrit dans un questionnement des normes et des systèmes d’oppression qui existent en architecture, notamment à travers un prisme queer. Elle a également été la commissaire de l’exposition Queering Brussels qui a pris place aux Halles Saint-Géry en 2022.
